Séquestrée de Chevy Stevens

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Nombre de page : 380 pages

Date de sortie France : 14 Septembre 2011

Prix : 7€ 40

Edition : Pocket

 

 

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Annie O’Sullivan, 32 ans, est agent immobilier sur l’île de Vancouver. Par un beau dimanche ensoleillé d’août, alors qu’elle fait visiter une maison à un potentiel acquéreur, ce dernier lui plante le canon d’un revolver dans le dos et l’oblige à monter dans sa camionnette…
Quand Annie se réveille, elle est prisonnière dans une cabane isolée en pleine forêt. C’est le début d’un enfer qui durera plus d’un an : douze mois où le Monstre – comme Annie le surnomme – fera d’elle sa chose. Torture psychologique, abus sexuels… : tout y passera, jusqu’à ce que la jeune femme parvienne enfin à s’échapper.
Pourtant, le plus dur commence pour Annie, qui doit à présent surmonter son traumatisme, réapprendre à vivre normalement sans plus dormir enfermée dans un placard, seul lieu où elle se sent en sécurité, et, surtout, accepter l’effroyable vérité : elle connaît le commanditaire de son enlèvement…

 

mon avis

Chaque chapitre est une séance chez un psy pendant laquelle Annie fait des flash-backs dans son enfance. On append que le père d’Annie est mort en même temps que sa sœur dans un accident de voiture, en effet un chauffard ivre leur est rentré dedans. Après cet accident la mère d’Annie fut bourrée de médicaments qui l’on totalement détruite psychologiquement.
Un triller qui prend aux tripes et qui ne lâche pas son lecteur. Tout en sachant ce qu’il c’est passé et que Annie s’en est sortie, je n’ai pas pu faire autrement que de finir au plus vite cette lecture, je voulais connaître l’identité de kidnappeur… et je voulais savoir ce qu’allait devenir Annie.

Amateurs de triller psychologique et du thème de la séquestration vous ne serez pas déçus !!! A lire rapidement !!! Histoire original sous forme de séances chez le psychologue. Chevy Stevens nous scotche pour son premier roman

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  • Extraits :

Je devrais peut-être placarder des affiches « Avis de recherche intérieure ». Le visage souriant qui me regardait était celui de la femme que j’étais avant. Ce n’était plus le mien Il continuait à me punir quand je me comportais mal, mais il ne m’avait plus flanqué de coup depuis belle lurette et j’en arrivais à le regretter. La souffrance physique me donnait l’impression de résister, à l’inverse de la cruauté mentale qui me grignotait inexorablement la tête.

 

 

 

 

 


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